Le temps passe, le vent nous emporte dans le tourbillon du temps ; frasques ! Je ne les ai pas vues ces vingt dernières années. Quelques brins de souvenirs, c’est tout. Des vacances à la plage dans les Landes, les hôtels New-Yorkais, le Bush Australien, les étales de Bangkok… Le reste s’est progressivement effacé, comme pour oublier les mauvais souvenirs d’une mémoire empreinte de douleurs et de désillusions, souillée. Selon moi, la vie est une série noire entrecoupée de conflits divers et de problèmes quotidiens. Mais demain sera différent. Heureusement, tout n’est pas à jeter ; il reste encore à imaginer et mener de belles réalisations. Une nouvelle vie, réservant plein de surprises et d’étonnements. Des jours à venir meilleurs, triomphants, dont il ne tient qu’à nous de dessiner le canevas en mouvement. À nous d’écrire le rôle que l’on souhaite incarner, inscrivant au présent tous les rêves inachevés en déployant armes et intelligence pour aller de l’avant. Le passé n’est plus et le futur n’est pas. Tâchons de vivre au présent et dépasser l’entendement !
Auteur/autrice : Tiburce Aubry
-
The power of Nature
Although Sandy was still learning to read and write, her skills improved each day, fuelled by her boundless imagination. She discovered unexpected doors into worlds no one else could have imagined. It was as if she had already journeyed across the globe and viewed everything through the prism of mystical knowledge —places most people would never reach.
Her father, John, was somewhat bewildered by her insights. He often wondered where she learned such things and suspected she was simply daydreaming, inventing stories in her mind. But as time went on, Sandy’s observations and ideas began proving to be scientifically accurate, leading to more curiosity about her special abilities and their mysterious origins.
In truth, Sandy seemed profoundly interconnected with nature.
-
Le plaisir caché le plus vrai
Créer l’effet de surprise… insuffler le mystère et susciter l’étonnement ! Telle est notre devise, puisse-t-elle être comparable à un feu d’artifice, étincelant de ses mille et une lumières…
Sous les yeux brillants de la foule en effervescence, on pouvait contempler un gracieux ballet, composé de danseurs emplis d’entrain et animés par la passion qui coule dans leurs veines. Valsant çà et là comme pour ranimer la flamme – pourtant semblait-elle incandescente –, ces esprits lyriques, mais en abandon, ces indigents avaient-ils seulement quelque peu oublié leurs rêves d’antan, enfouis dans les abîmes d’un monde manquant cruellement de couleurs et d’encens ?
Heureusement, il demeurait encore quelques artistes : âmes vouées, vivaces et belles, s’évertuant à rappeler à la conscience, et ainsi faire renaître en chacun de ses hôtes la fontaine des sentiments qu’il était en mesure d’exprimer… Et l’on redécouvrait finalement le plaisir caché le plus vrai : l’émerveillement !